07 octobre 2006

En Bref...

Bonjour,

Comme d'habitude, voici le report hebdomadaire des informations liées de près ou de loin avec notre discipline. En voici un résumé succinct : Tout d'abord, nous apprendrons à taire nos préjugés sur les achats compulsifs, mais nous prendrons ensuite connaissance, malheureusement, de l'extension internationale des violences envers les femmes

Achats compulsifs : Une étude de l'Université de Stanford montre qu'il n'existe pas de différences entre genre


Contrairement à l'opinion commune, presque autant d'hommes que les femmes éprouvent des troubles d'achat compulsif, une condition marquée par une frénésie d'achat et la difficulté financière subséquente, selon une nouvelle recherche de l'Université de Stanford de Médecine

Les gens qui ont des troubles d'achat compulsif - appelés parfois des troubles d'achat compulsif du shopping - sont souvent frappés d'une impulsion irrésistible, importune et souvent insensée d'acheter.

Il est commun pour les victimes de continuer à faire fréquemment du shopping frénétique et d'accumuler de grandes quantités d'articles inutiles, indésirables. Les victimes enregistrent souvent des milliers de dollars de dette et mentent à leurs proches au sujet de leurs achats. Les conséquences peuvent être la faillite, le divorce, le détournement de fonds et même des tentatives de suicide.

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Contrary to popular opinion, nearly as many men as women experience compulsive buying disorder, a condition marked by binge buying and subsequent financial hardship, according to new research from the Stanford University School of Medicine.

People who have compulsive buying disorder - sometimes called compulsive shopping disorder - are often struck with an irresistible, intrusive and often senseless impulse to buy. It is common for sufferers to go on frequent shopping binges and to accumulate large quantities of unnecessary, unwanted items. Sufferers often rack up thousands of dollars in debt and lie to their loved ones about their purchases. The consequences can be bankruptcy, divorce, embezzlement and even suicide attempts.

It is common for sufferers to go on frequent shopping binges and to accumulate large quantities of unnecessary, unwanted items. Sufferers often rack up thousands of dollars in debt and lie to their loved ones about their purchases. The consequences can be bankruptcy, divorce, embezzlement and even suicide attempts.

Une étude de l'OMS observe une extension des violences faites aux femmes

Une étude internationale a constaté que la violence à domicile contre les femmes commise par leur conjoints ou compagnon est répandue, commune à la fois aux pays développés et aux pays du Tiers-Monde, aussi bien
dans des zones rurales qu'urbaines.

Dans des entretiens avec presque 25,000 femmes de 15 sites et dans 10 pays, les chercheurs de l'Organisation Mondiale de la Santé ont constaté que les taux de violence du conjoint se sont étendus entre 15 pour cent à Yokohama, au Japon, à 71 pour cent en Ethiopie rurale.

Le rapport dit que les secteurs ruraux ont tendance à avoir des taux plus hauts d'abus que les villes. Mais aucun secteur n'était immunisé. L'étude ajoute une dimension importante à un corps croissant de recherche sur la violence envers les femmes, un sujet qui était alimenté plus par l'émotion que par des données concrètes dans le passé.

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An international study has found that violence against women committed by their live-in spouses or partners is widespread, common in both the developed and developing world, as well as in both rural and urban areas.

In interviews with nearly 25,000 women at 15 sites in 10 countries, researchers from the World Health Organization found that rates of partner violence ranged between 15 percent in Yokohama, Japan, to 71 percent in rural Ethiopia.

The report says that rural areas tended to have higher rates of abuse than cities. But no area was immune. The study adds an important dimension to a growing body of research on violence toward women, a topic that has been fueled more by emotion than hard data in the past.

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